13 – 14 juin 2023 à l’UQTR

Cet évènement s’adresse aux jeunes chercheur·ses en philosophie féministe et vise à offrir un cadre bienveillant et solidaire pour échanger entre pair·es sur des travaux en cours d’écriture.

 

Les objectifs de ces ateliers sont multiples : bénéficier de retours constructifs pour améliorer substantiellement un texte, discuter de son rapport à l’écriture, briser l’isolement de la recherche, lutter contre les injustices structurelles dans le monde académique, former des liens entre jeunes chercheur·ses et initier la création de petits groupes d’écriture réguliers.

                                     

 

1.       Il s’ouvrira d’abord sur un atelier d’introduction et de discussion sur l’écriture universitaire et ses difficultés (pages blanches, syndrome de l’imposteur·e, doutes…), et sur les stratégies pour y remédier. 

2.      Nous nous séparerons ensuite en petits groupes de 3 ou 4 personnes et dédierons 1h30 pour la discussion de chaque texte. Chacun·e participera à un total de 3 ou 4 ateliers répartis sur les deux jours, dont celui sur son propre texte. Les groupes seront constitués de personnes se trouvant à un stade similaire d’avancement (les personnes à la maîtrise se reliront entre elles, celles au doctorat entre elles, et les postdocs de même) afin que les échanges soient le plus libres et constructifs possibles.

3.      Il se terminera par une séance de conclusion et un retour d’expérience.

 

1.     Envoyer un texte en cours d’écriture (projet de thèse, chapitre de thèse, articles, etc) d’un maximum de 10 000 mots avant le 13 mai 2023. Contrairement à une communication de colloque, ou de journées d’étude, ce texte doit être véritablement en travail. Il ne sert à rien d’envoyer des textes terminés, encore moins des textes déjà soumis à l’évaluation pour la maîtrise, le doctorat ou une revue. Le but est que chacun·e reparte avec des idées qui lui permettent d’écrire une meilleure version de son texte. Donc ne craignez pas d’envoyer des textes dont vous n’êtes pas satisfait·es. Les textes peuvent aussi être bien moins longs que 10 000 mots.

2.      Lire TOUS les textes de votre groupe, c’est-à-dire en pratique 2 ou 3 trois textes avant le début des ateliers, donc entre le 13 mai et le 13 juin. A titre indicatif, il faut généralement prévoir de passer environ une demi-journée pour lire et réfléchir à des retours sur un texte de 10 000 mots. 

3.     Proposer des retours constructifs sur les textes que vous lirez. C’est-à-dire des commentaires, questions, et suggestions qui permettront à l’auteur·ice d’améliorer son texte et de le rendre plus rigoureux, plus précis et plus convaincant.   

4.      Participer à l’ensemble de l’évènement et à tous les ateliers de votre petit groupe.

Les jeunes chercheur·ses en philosophie féministe rattaché·es à une université québécoise : étudiant·es en maîtrise et doctorat & chercheur·ses postdoctorant·es.   

 

 

En manifestant votre intérêt Lila Braunschweig par retour de mail (lila.braunschweig@uqtr.ca) avant le 30 mars 2023 avec les informations suivantes:

 

1.      Le programme universitaire en cours et le stade d’avancement

2.      Votre université de rattachement

3.      Votre thème ou intérêt de recherche en quelques mots  

4.      Votre engagement à respecter les 4 règles ci-dessus (écrire, lire, discuter, participer)

5.      Si vous souhaitez être dans le même groupe que des ami·es/collègues qui participent également. 

Des financements pourront éventuellement être offerts pour le voyage et l’hébergement à Trois-Rivières la nuit du 13 juin, en fonction des situations individuelles.