Valérie Amiraux
Professeure de sociologie au département de l’Université de Montréal, et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en étude du pluralisme religieux et de l’ethnicité (CRSH).
Postes occupés
2019-2020 à aujourd'hui | Membre collaborateur-trice, Éthique et politique |
2014-2015 à 2018-2019 | Co-chercheur-se, Éthique et politique |
2013-2014 | Chercheur-e associé-e, Éthique et politique |
Participations aux événements du CRÉ
22 novembre 2011 | Séminaire du CRÉUM sur Edward Soja et la justice spatiale |
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3 mai 2013 | L’accessibilité comme condition de la justice spatiale en milieu urbain |
23 janvier 2015 | La liberté d’expression, entre droit fondamental et responsabilité sociale |
27 novembre 2015 | ATTENTION, ÉVÉNEMENT REPORTÉ AU 4 DÉCEMBRE 2015 |
4 décembre 2015 | Étienne Balibar (Paris X et Institute for Comparative Litterature and Society) |
18 avril 2016 | Georges Leroux, Différence et liberté (Boréal) |
11 décembre 2018 | « Race et racisme » et « Citoyenneté, piété et démocratie » |
Biographie
Page institutionnelle
Page personnelle
Je suis professeure de sociologie au département de l’Université de Montréal, en détachement de mon poste de chargée de recherche au CNRS. Je suis titulaire de la Chaire de recherche du Canada en étude du pluralisme religieux et de l’ethnicité (CRSH) et affiliée à différents centres de recherche de l’Université de Montréal (CEETUM, CCEAE, CEUE).Avant cela, j’ai pas mal bougé : Le Caire (au DEAC, 1989-90), Berlin (au Centre Marc Bloch en 1992-1997 et hiver 2004), Florence (1997-2001 comme Jean Monnet puis Research fellow, 2005-2007 comme Marie Curie Fellow). J’ai une licence d’arabe littéral et un DULCO d’arabe oriental de l’INALCO ainsi qu’une maîtrise en histoire contemporaine de Paris IV-Sorbonne (1991) et un doctorat de science politique de l’Institut d’études politiques de Paris (1997).
Mes recherches actuelles portent sur la discrimination religieuse des minorités croyantes dans certains États-membres de l’Union européenne, sur le rôle de l’arène juridique dans la régulation des conflits autour du port de signes religieux (France-Grande-Bretagne) et, plus récemment, sur l’articulation entre pluralisme et radicalisation. Dans tous ces projets, je compare plusieurs minorités croyantes (juives, sikhes, musulmanes) et différents contextes.