Alexandre a réalisé ses études de premier cycle à l’Université du Québec à Montréal, où il a notamment occupé un poste d’étudiant-chercheur à la Chaire UNESCO d’étude des fondements philosophiques de la justice et de la société démocratique, sous la direction de la professeure titulaire Josiane Boulad-Ayoub. Son travail consistait essentiellement à la préparation d’une encyclopédie virtuelle des grandes révolutions, dont la finalité est de faciliter l’accès à la connaissance des événements qui ont façonné la société dans laquelle on vit aujourd’hui.Il a commencé ses études supérieures à l’Université de Montréal en automne 2012. Sous la direction de Peter Dietsch, Alexandre travaille à la rédaction d’un mémoire de maîtrise intitulé : « L’allocation universelle et le principe de réciprocité : le problème du passager clandestin », et pour lequel il a reçu la bourse de maîtrise du Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH). Dans ce mémoire, il est défendu que l’allocation universelle peut survivre à l’objection fondée sur le principe de réciprocité, à savoir qu’il serait inéquitable de laisser une personne apte à travailler vivre du labeur d’autrui.À l’été 2013, il a aussi entrepris un stage de recherche à la Chaire Hoover d’éthique économique et sociale, sous la direction du professeur titulaire Philippe Van Parijs, afin d’approfondir ses recherches sur l’allocation universelle. Ce stage était aussi appuyé par le CRSH (supplément de bourse Micheal-Smith). C’est donc au retour de ce stage qu’Alexandre a obtenu la bourse d’études supérieures du CRÉUM pour poursuivre ses recherches, entre autres sur l’idée parasitisme qui est un type particulier de l’objection d’exploitation qui est adressée à l’allocation universelle.