Natalie est arrivée à McGill en 2006 après avoir occupé des postes à l’Australian National University, à la Monash University (Melbourne) et à l’University of Melbourne. Ses recherches portent sur trois domaines : la philosophie féministe, la philosophie sociale et politique (en particulier la psychologie morale) et la philosophie du droit. En philosophie féministe, elle a écrit sur la métaphysique féministe, en particulier les notions d’essentialisme, de réalisme et de nominalisme. En philosophie sociale et politique, son travail se concentre sur l’autonomie et d’autres aspects de la psychologie morale.

Elle est co-éditrice (avec Catriona Mackenzie) de la collection 2000 Relational Autonomy. Feminist Perspectives on Autonomy, Agency and the Social Self (OUP). Sa recherche actuelle est financée par une subvention de recherche du CRSH « Autonomy and Oppression. A Relational Analysis » (2010-13). Dans le domaine de la philosophie du droit, elle a publié des articles sur les notions d’interprétation juridique, d’interprétation constitutionnelle et de contrôle judiciaire, ainsi que sur la méthodologie du droit.