La violence des indiens Waorani ne serait pas héréditaire (Nature)
Les indiens Waorani des forêts amazonienne d’Équateur avaient, avant les années 1970, le plus haut taux d’homicide connu: 54% des hommes et 39% des femmes succombaient à une mort violente. Une étude indique que les plus féroces guerriers auraient pourtant eu moins de descendants. La meilleur explication à ces violences semble donc relever du contexte culturel, comme l’indique cet article de Nature: Making war not love.